« Les vendeurs ont une culture du prix erronée » | Lyon Pôle Immo

« Les vendeurs ont une culture du prix erronée »

Gilles Vaudois est directeur de plusieurs agences Laforêt, dont une située à Villeurbanne. Il nous parle des principales tendances de l’immobilier dans ce secteur.

Quelle est votre perception quant au marché immobilier de Villeurbanne ?

Le marché est à peu près étale par rapport à l’an dernier. Nous souffrons, sur la première couronne dont Villeurbanne fait partie, d’un manque de primo-accédants sur les biens des années 70. Nous avions jusqu’ici sur Villeurbanne deux marchés principaux. D’abord les primo-accédants qui ne pouvaient pas acheter dans le 3ème ou dans le sixième, et qui se reportaient sur Villeurbanne. Et puis les particuliers investisseurs cherchant à se faire un complément de retraite en achetant un bien sur Villeurbanne pour le louer. La loi Duflot a eu un effet négatif sur ces derniers, avec la perspective de blocage des loyers. Le recul des primo-accédants est lui assez net. Les ventes réalisées sur Villeurbanne le sont à des secundo-accédants.

L’autre problème que l’on rencontre sur Villeurbanne concerne la difficulté qu’ont les vendeurs à faire baisser leurs prix. La raison de cette difficulté est assez simple : les prix ont augmenté assez tardivement par rapport à Lyon, en 2006-2007. Beaucoup de programmes neufs étaient en livraison, et nombre de vendeurs ont pris leurs références par rapport aux prix du neuf. Dans les années 2008-2009, on a construit moins de programmes neufs sur Villeurbanne. Pour lire la totalité de l'article, abonnez-vous ou identifiez-vous






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Commentaires

Seuls les biens rares trouvent preneurs, ce qui masque la réalité de la baisse effective des prix.J’en profite pour conseiller aux acheteurs de choisir les biens en vente dans deux ou trois agences car les biens en exclusivité sont bien moins négociables car ces agences ne vendent qu’avec leur commission maximales et ne sont pas pressées vu l’absence de concurrence.Dans ce cas seul les propriétaires font (éventuellement) l’effort.

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ça a le mérite de la franchise. Ce qui prouve que les agents ont également intérêt à la transaction. Avec une offre qui se caractérise par de prix trop hauts, le compromis ne se signe pas, il n’y a pas de visites… Il faut que les vendeurs intègrent qu’ils doivent demander des prix plus bas.

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Et qui leur a donné cette culture, si ce n’est les agents immo qui ont tout fait pour favoriser cette hausse des prix???

Maintenant que le marché se bloque ils crient au feu !!

C’ est l’arroseur arrosé.

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