Une activité immobilière encore au zénith en 2018, mais des craintes pour 2019 | Lyon Pôle Immo

Une activité immobilière encore au zénith en 2018, mais des craintes pour 2019

La FNAIM présentait ce mercredi son bilan sur l'année écoulée au niveau national sur le front de l'immobilier résidentiel. La hausse des prix est toujours aussi sensible à Lyon. 

On ne connaitra que lundi prochain les chiffres détaillés de la Chambre FNAIM du Rhône au titre de l’année 2018. Mais la fédération nationale de l'immobilier a néanmoins délivré, ce mercredi, ses chiffres au niveau national. Après une année 2017 marquée par un record de transactions sur le marché résidentiel, l’activité est ainsi restée au plus haut en 2018, avec 965.000 ventes. L’activité a même légèrement augmenté, de l’ordre de 0,3% par rapport à 2017. En trois ans, l'activité a ainsi augmenté de 21%, avec une progression de 170.000 ventes.

170.000 transactions supplémentaires ont été finalisées en trois ans, avec un taux de rotation qui est resté aussi élevé que lors de la période record du début des années 2000. « Les taux d’intérêt historiquement bas ont certainement motivé les ménages pour passer à l’acte, mais la confiance est par nature fragile. Or en novembre, une baisse a été constatée. Il faudra surveiller ce facteur en 2019, même si, en l’état actuel des choses, l’indice reste plus élevé que sur la période 2008 à 2015 », note la fédération.

Hausse de 2,7% au niveau national

Concernant les prix de vente au m², ceux-ci font apparaître une légère décélération, mais restent toutefois plus que jamais orientés à la hausse, avec une progression toujours bien supérieure à l’inflation, de l’ordre de 2,7% dans la France entière, contre 4,2% en 2017.

Ce chiffre, note la fédération, cache toutefois de nombreuses disparités. Selon la typologie, la hausse est d’une amplitude différente suivant les types de biens, avec une hausse de 3,8% pour les appartements (contre +4,9% en 2017), quand elle n’est que de 1,5% pour les maisons (+3,7% l’année précédente).

Disparités géographiques

On notera également une disparité géographique entre Paris, l’Ile de France et le reste du territoire. A Paris, les prix ont encore augmenté de 5,9%, après une hausse de 6,5% en 2017.

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